Damage : Un chauffeur pas comme les autres

Grâce aux aménagements mis en place par les équipes de Kässbohrer E.S.E. et de la S3V à Courchevel sur un PistenBully 600, Antoine Motillon, paraplégique, réalise son rêve : devenir conducteur d’engin de damage !

Le métier de chauffeur d’engin de damage est un métier de passion. Et chacun vibre selon ses clefs d’entrée. La conduite, la mécanique, la montagne, mais aussi la nuit, le calme et la solitude, les grands espaces, la confrontation à la nature et aux éléments, le plaisir de construire et de travailler les pistes… la liste est longue et chaque dameur a son histoire. Celle d’Antoine Motillon est pourtant singulière…
Cet ancien couvreur a donné l’hiver dernier une nouvelle orientation à sa vie professionnelle : il est devenu chauffeur d’engin de damage. Rien d’exceptionnel à ceci près qu’Antoine est … paraplégique ! Un accident de moto l’a en effet privé il y a quelques années de l’usage de ses jambes. Il entame alors une reconversion et devient le premier moniteur de planeur paraplégique.
Mais son rêve d’enfance c’est le damage. Il contacte alors Kässbohrer E.S.E. pour échanger avec les équipes sur la possibilité d’adapter une dameuse à son usage.  C’est le début de l’aventure.

Damage : Un chauffeur pas comme les autres

Intégrer le handicap, adapter la machine
Il faut en parallèle trouver une station qui accepte le challenge. Certaines d’entre elles sont hésitantes, craignant que les aménagements de la machine soient compliqués tout comme l’intégration du handicap dans ce métier si particulier. Kässbohrer E.S.E. prend alors contact avec Courchevel et la station va relever le défi.
Les équipes de Kässbohrer vont travailler à adapter la machine (blocage d’accélérateur et manettes de contrôle) en collaboration avec les techniciens de la S3V qui, en parallèle, installent un système de bras et de poulie pour faciliter l’accès du chauffeur à la cabine.
Les premières semaines de tests et de formation peuvent être effectuées sur les pistes de la station et elles sont concluantes dès la fin de l’hiver dernier.
Cette saison, Antoine a de nouveau intégré l’équipe de Courchevel et les aménagements de la machine ont été améliorés. Le système de bras et poulie a été remplacé par un élévateur adapté et performant dont la S3V a fait l’acquisition et qui a été astucieusement mis en place sur la machine d’Antoine par Kässbohrer E.S.E.. L’accélérateur initial, qui ne permettait que le blocage du régime, a été remplacé par un accélérateur permettant d’ajuster le régime voulu à la main. Enfin, un tube télescopique relié aux réservoirs à carburant permet au conducteur de faire le plein tout seul depuis une plate-forme installée par la S3V.

Antoine peut continuer d’assouvir sa passion du damage !

Le métier de chauffeur d’engin de damage est un métier de passion. Et chacun vibre selon ses clefs d’entrée. La conduite, la mécanique, la montagne, mais aussi la nuit, le calme et la solitude, les grands espaces, la confrontation à la nature et aux éléments, le plaisir de construire et de travailler les pistes… la liste est longue et chaque dameur a son histoire. Celle d’Antoine Motillon est pourtant singulière…
Cet ancien couvreur a donné l’hiver dernier une nouvelle orientation à sa vie professionnelle : il est devenu chauffeur d’engin de damage. Rien d’exceptionnel à ceci près qu’Antoine est … paraplégique ! Un accident de moto l’a en effet privé il y a quelques années de l’usage de ses jambes. Il entame alors une reconversion et devient le premier moniteur de planeur paraplégique.
Mais son rêve d’enfance c’est le damage. Il contacte alors Kässbohrer E.S.E. pour échanger avec les équipes sur la possibilité d’adapter une dameuse à son usage.  C’est le début de l’aventure.

Damage : Un chauffeur pas comme les autres

Intégrer le handicap, adapter la machine
Il faut en parallèle trouver une station qui accepte le challenge. Certaines d’entre elles sont hésitantes, craignant que les aménagements de la machine soient compliqués tout comme l’intégration du handicap dans ce métier si particulier. Kässbohrer E.S.E. prend alors contact avec Courchevel et la station va relever le défi.
Les équipes de Kässbohrer vont travailler à adapter la machine (blocage d’accélérateur et manettes de contrôle) en collaboration avec les techniciens de la S3V qui, en parallèle, installent un système de bras et de poulie pour faciliter l’accès du chauffeur à la cabine.
Les premières semaines de tests et de formation peuvent être effectuées sur les pistes de la station et elles sont concluantes dès la fin de l’hiver dernier.
Cette saison, Antoine a de nouveau intégré l’équipe de Courchevel et les aménagements de la machine ont été améliorés. Le système de bras et poulie a été remplacé par un élévateur adapté et performant dont la S3V a fait l’acquisition et qui a été astucieusement mis en place sur la machine d’Antoine par Kässbohrer E.S.E.. L’accélérateur initial, qui ne permettait que le blocage du régime, a été remplacé par un accélérateur permettant d’ajuster le régime voulu à la main. Enfin, un tube télescopique relié aux réservoirs à carburant permet au conducteur de faire le plein tout seul depuis une plate-forme installée par la S3V.

Antoine peut continuer d’assouvir sa passion du damage !

Le métier de chauffeur d’engin de damage est un métier de passion. Et chacun vibre selon ses clefs d’entrée. La conduite, la mécanique, la montagne, mais aussi la nuit, le calme et la solitude, les grands espaces, la confrontation à la nature et aux éléments, le plaisir de construire et de travailler les pistes… la liste est longue et chaque dameur a son histoire. Celle d’Antoine Motillon est pourtant singulière…
Cet ancien couvreur a donné l’hiver dernier une nouvelle orientation à sa vie professionnelle : il est devenu chauffeur d’engin de damage. Rien d’exceptionnel à ceci près qu’Antoine est … paraplégique ! Un accident de moto l’a en effet privé il y a quelques années de l’usage de ses jambes. Il entame alors une reconversion et devient le premier moniteur de planeur paraplégique.
Mais son rêve d’enfance c’est le damage. Il contacte alors Kässbohrer E.S.E. pour échanger avec les équipes sur la possibilité d’adapter une dameuse à son usage.  C’est le début de l’aventure.

Damage : Un chauffeur pas comme les autres

Intégrer le handicap, adapter la machine
Il faut en parallèle trouver une station qui accepte le challenge. Certaines d’entre elles sont hésitantes, craignant que les aménagements de la machine soient compliqués tout comme l’intégration du handicap dans ce métier si particulier. Kässbohrer E.S.E. prend alors contact avec Courchevel et la station va relever le défi.
Les équipes de Kässbohrer vont travailler à adapter la machine (blocage d’accélérateur et manettes de contrôle) en collaboration avec les techniciens de la S3V qui, en parallèle, installent un système de bras et de poulie pour faciliter l’accès du chauffeur à la cabine.
Les premières semaines de tests et de formation peuvent être effectuées sur les pistes de la station et elles sont concluantes dès la fin de l’hiver dernier.
Cette saison, Antoine a de nouveau intégré l’équipe de Courchevel et les aménagements de la machine ont été améliorés. Le système de bras et poulie a été remplacé par un élévateur adapté et performant dont la S3V a fait l’acquisition et qui a été astucieusement mis en place sur la machine d’Antoine par Kässbohrer E.S.E.. L’accélérateur initial, qui ne permettait que le blocage du régime, a été remplacé par un accélérateur permettant d’ajuster le régime voulu à la main. Enfin, un tube télescopique relié aux réservoirs à carburant permet au conducteur de faire le plein tout seul depuis une plate-forme installée par la S3V.

Antoine peut continuer d’assouvir sa passion du damage !